Nos marches en 1999

Gesves

Les Sauvages s’élancent sous le soleil et la neige. Les absents ont, une fois encore, tort ! Nous partons à travers bois et champs. À Pourain, un vieil habitant nous renseigne sur notre position. Nous sommes à Florée !!!! Nous passons à côté du château de Wagnée. Au sortir d’un bois nous découvrons une harde de cinq faons qui regagnent aussitôt le couvert. Nous coupons à travers champs pour retrouver Gesves. L’après-midi, nous repartons et admirons les beaux paysages condruziens et leurs « tiges » ! À la lisière du bois de Courrière. Fatigués et heureux, nous écourtons et regagnons Gesves où nous y buvons notre traditionnel verre de l’amitié.


Monceau-en-Ardenne

Le ton est rapidement donné. Nous rejoignons Ruaumoulin à travers des chablis fraîchement coupés. Après beaucoup de ronces et les regrets des dames en short, nous arrivons au moulin où l’on panse quelques écorchures. Nous arrivons à la grotte Mouselle et gagnons Vresse. Nous remontons ensuite vers le village de Laforêt pour longer la Semois. Nous découvrons de belles vues ainsi que d’anciens séchoirs à tabac, vestige d’une glorieuse spécialité perdue. Tout à coup, nous nous trouvons au pied d’une montée longue et aux débuts difficiles. L’orage menace, mais c’est à peu près sec que nous retrouvons nos voitures. À Membre, tout crottés, nous dégustons le verre de l’amitié.


Thuin

C’est par miracle qu’on ait pu réunir six Sauvages en ce jour d’élections. Dès le départ, nous découvrons une vieille ruelle. On passe devant une maison rustique admirablement restaurée en dévalant vers la Bième. Les campagnes nous mènent à une ferme de la Folie… puis nous gagnons par les bois le ruisseau du Pont-à-Roulettes et l’écluse n°3 sur la Sambre qui sera notre fil conducteur, fil de l’eau s’entend, jusqu’au pique-nique. Nous sommes loin de Sart-la-Buissière et nous passons encore à la Portelette de Lobbes avant d’escalader la colline sur laquelle est juché Thuin.

Kiewit

De Kiewit, les Sauvages partent  vers les nombreux étangs que compte la Campine limbourgeoise. La végétation est très belle et c’est sans difficultés que nous atteignons Stockrooie. Les ennuis commencent avec de superbes et multiples plans d’eau devenus « Heidestrand » et donc interdits. Sur un beau sentier, on décide de se reposer. Mais le coin paisible est perturbé par les babillages en délicieux wallon de nos compères Bernard et Francis. À la reprise, on bute sur étangs et digues pour rebrousser chemin et s’offrir 5 kilomètres supplémentaires. Les Sauvages découvrent un tennis et son bar bien rafraîchissant. Retour aux voitures et retour au tennis pour le verre de l’amitié.

Beersel

Les Sauvages partent de l’église de Beersel par un temps pluvieux. Dominique nous conduit d’abord vers le magnifique château entouré d’eau. Nous rejoignons ensuite le GR12 (Bruxelles – Paris) pour marcher sur les pavés de Quenast, parfois sur des chemins très boueux. Nous traversons le Begijnbos. À midi, nous prenons possession du café Gildenhuis à Dworp. L’après-midi, après avoir longé le Molenbeek, nous découvrons le site merveilleux des Sept Fontaines. Arrivés dans le bois de Halle, notre caractère « sauvage » s’éveille : fougères, orties, chablis, rien ne nous arrête. Jo apporte son concours dans une descente à travers tout ! Les Sauvages rejoignent ensuite le point de départ.