Nos marches en 2002

Daverdisse

Pour inaugurer notre quart de siècle, Christine emmène 25 Sauvages (c’est bien normal) de l’église de Daverdisse pour une balade dans la neige dont elle s’est fait la spécialiste. Nous sommes dans les bois sur un parcours très pittoresque. Dans cette région, les chemins forestiers qui s’incurvent au fil de l’eau se dénomment « virées ». Après le pont de Barbouillons, nous franchissons un gué. Les chemins dans la forêt  nous mènent au café de Gembes. L’Almache, une rivière, nous fait découvrir ses différents ponts : l’Ermite, du Fer et de Fays. Par une rude montée, nous retrouvons Daverdisse… où il n’y a pas de café ouvert !


Cugnon

Un villageois apeuré par ce rassemblement de Sauvages, prévient le garde champêtre qui interroge Paul sur ses intentions ! Celles-ci sont bien pacifiques. D’emblée, nous partons à l’abordage de la première montée. Nous descendons vers un des affluents de la Semois par un chemin lui-même transformé en affluent ! Nous poursuivons parmi les ronces, hautes herbes et chablis… L’après-midi, départ d’Herbeumont. Après les nombreux affluents de la Semois, les irréductibles Sauvages partent à l’assaut du rocher du Chat où la vue sur la Semois est remarquable. Descendant à travers tout, gués et torrents pour le retour à Herbeumont. Merci à Paul et à Lucien pour ce parcours de 27km !


Bourlers, ou les débuts de Mireille comme pilote

Nous pénétrons  dans le bois de la Thiérache et arrivons près de la ferme de la Haute Grange, datant de 1796. À travers un bois de conifères, nous arrivons sur un pont sur l’Eau noire. L’eau est omniprésente sur notre parcours. Nous traversons le bois de la Sormonne et le bois de Bourlers. Par de jolis sentiers et gués, nous découvrons, une borne gravée : « 1832 ». Borne de le Principauté ? Après une ligne droite au relief peu accidenté, nous retrouvons notre point de départ. Notre guide fraîchement attitrée nous avait annoncé 20km, trois podomètres affichent 25, 26 et 27km. Mais que la balade fut superbe !


Virelles

Mireille nous emmène pour un parcours très varié au départ de Virelles. Les Sauvages marchent par de beaux et humides coupe-feu dans le bois Robert. De temps à autre, nous apercevons l’étang de Virelles. À midi, repas nature, car le seul établissement du coin fait la nique aux pique-niqueurs. Quelques astucieux Sauvages contournent l’obstacle en commandant un spaghetti. La balade s’allonge tandis que le groupe s’effiloche miné à la fois par les éléments (la pluie se déchaîne), le terrain (on parle beaucoup d’une fameuse côte à proximité de Lompret) et la longueur (31km !).
En début de balade, Mireille avait distribué aux Sauvages, la carte et une notice explicative sur les sites traversés.

Houx

Dominique le pilote du jour raconte la balade. Nous pénétrons dans les bois sur un chemin caillouteux et glissant. Bien vite, le GR fait place à un parcours hasardeux et semé d’embûches ! Après les coquelicots des champs, voici les mille fleurs éclatant au soleil de juin. La réserve naturelle de Marlagne nous offre de très beaux points de vue. L’après-midi, traversée du tunnel de l’ancienne voie Yvoir – Ciney. De très sévères montées nous attendent avant de nous retrouver autour du verre de l’amitié, à l’entrée du château d Poilvache.

Harzé

Encore une belle journée ensoleillée ! Christine, notre pilote, est en…sandales( !). Après  une belle grimpette, nous marchons sur les très beaux sentiers des forêts ardennaises. À Ernonheid, c’est la ducasse et de multiples chemins sont barricadés. En bons Sauvages indisciplinés, nous faisons fi des mises en garde et passons à travers prairies, forêts, gués pour nous retrouver sur un sentier interdit ! Nous rejoignons un GR qui nous mène de Rouge-Minière au petit séminaire de Saint-Roch. De retour à Harzé, nous buvons le verre de l’amitié sur la terrasse du château.


Jesus-Eik (Notre-Dame-au-Bois)

Encore une superbe balade. La forêt de Soignes rutile de ses ors et de ses fauves. Le guide excelle à trouver dans cette immense forêt les petites combes herbeuses. Passage à la chapelle Saint-Hert. À Tervueren, nous traversons la kermesse. Après le pique-nique, visite de la très belle église du lieu et passage devant les tombes de Congolais victimes du froid lors d’une exposition universelle ! L’après-midi, le guide nous gratifie  de la vue du magnifique musée de l’Afrique Centrale créé sous Léopold II. De retour à Jesus-Eik, nous prenons le verre de l’amitié.


Vencimont : quand Danielle et Alberto nous rejoingnent

Christine, une nouvelle fois, pilote et raconte la balade.

Pour la dernière marche de l’année, la pluie est encore  au rendez-vous, et elle ne nous quittera pas de la journée. À peine partis, nous nous heurtons aux fatidiques panneaux de chasse et nous devons trouver un autre itinéraire. Nous tournons en rond et décidons de changer d’air, et en voiture, nous gagnons Gedinne. Ouf ! Les chasseurs ne squattent pas le bois ! Que nous arpentons tout l’après-midi. D’excellente humeur, nous buvons, à 28, le verre de l’amitié au café «L’Apéro».