Nos marches en 2007

Archennes

Nous commençons cette belle balade par une belle montée en pavés. Le vent est glacial et nous marchons d’un bon pas. Nous redescendons vers la vallée de la Nethen par de très belles chavées. Une superbe grimpette nous conduit à la forêt de Meerdael. Changement de paysage, changement de langue ! La forêt a beaucoup souffert de la dernière tempête et nous devons souvent éviter chablis et troncs qui jonchent le sol. Nous longeons deux petits étangs. Voici Grez-Doiceau. Par un chemin boueux nous remontons sur le plateau, redécouvrons l’église de Bossut et redescendons sur Archennes par des sentiers tout à fait sauvages.


Rochefort

Une belle affiche de Justine !


Une fois encore, le ciel nous fait don du soleil. Le ton est immédiatement donné. Notre pilote nous fait gravir une forte montée. Nous redescendons à travers bois vers Han où nous cassons la croûte. Et comme par hasard, pour faciliter notre digestion, notre guide nous fait gravir une terrible côte. Dans ce lieu tout à fait sauvage (normal pour des « Sauvages »), nous avons le plaisir de voir filer un superbe chevreuil, tout content de voir des humains sans fusil !
De retour à Rochefort, nous dégustons les délicieux cakes offerts par notre ami Jo pour bien marquer le début de cette nouvelle année.

Une fois encore, le ciel nous fait don du soleil. Le ton est immédiatement donné. Notre pilote nous fait gravir une forte montée. Nous redescendons à travers bois vers Han où nous cassons la croûte. Et comme par hasard, pour faciliter notre digestion, notre guide nous fait gravir une terrible côte. Dans ce lieu tout à fait sauvage (normal pour des « Sauvages »), nous avons le plaisir de voir filer un superbe chevreuil, tout content de voir des humains sans fusil ! De retour à Rochefort, nous dégustons les délicieux cakes offerts par notre ami Jo pour bien marquer le début de cette nouvelle année.

Wéris (ou les « Sauvages » chez Astérix)

Les Sauvages se retrouvent dans un pays qui ressemble à celui d’Astérix, par ses dolmens et ses menhirs. Le soleil est au rendez-vous, mais bien vite, comme du temps de Gaulois, le ciel nous tombe sur la tête… Après un petit tour par les mégalithes, la marche se poursuit à travers les ronces et les épines, par monts et par vaux. Nous grimpons vers la Pierre Hiena et dégringolons jusqu’au lit du Tombeau de Satan. Nous remontons jusqu’au col du Rideux. Une petite descente, la traversée d’un gué et une dernière montée dans les bois pour retrouver Wéris et sa taverne où nous savourons une bonne chope.


Mirwart

Les Sauvages trouvent, parfois difficilement le parking. Pourtant, le moulin de Mirwart, comme tous les moulins à eau, se trouve dans la vallée ! C’est par une superbe montée que nous commençons la balade en cette belle journée de mars. Sur ce terrain vallonné à souhait, c’est très difficilement que nous maintenons une certaine cadence. Les Sauvages escaladent les côtes, dévalent les descentes pour se retrouver devant notre gué dominical ! Pour la traversée de la Lesse, le groupe s’étire, s’étire… Cette fois, c’est bien la dernière montée. À Mirwart, au café de Bure nous nous arrêtons pour déguster des cakes et boire une bière.

Lorcé

Nous commençons par une grimpette sur le GR578, pour plonger vers les Fonds de Quareux. Nous remontons la Chefna et nous arrivons à Ville-au-Bois. Nous cassons la croûte sur des troncs d’arbres fraîchement sciés.  Vues splendides sur les forêts et les prés-Fagnes. Le chemin est enchevêtré d’arbres arrachés lors de la dernière tempête, c’est le parcours du combattant ! Une petite sente nous ramène à la Chefna. Encore une très longue montée et c’est la descente sur l’Amblève en passant par « Naze ». Quelques bons dénivelés ont jalonné notre balade. Et c’est à la taverne du Ninglinspo que nous prenons le verre de l’amitié.

Olloy

Namur

Nous partons de bon pied à l’assaut de la citadelle de Namur. Notre pilote nous entraîne sur un chemin douteux tellement il a plu ces derniers jours : petit crochet pour certains ! Notre périple se poursuit dans les bois et sur les crêtes qui nous mènent à Malonne. À la terrasse d'un bistrot où nous cassons la croûte en profitant de quelques rayons de soleil. Nous reprenons des sentes boisées et apprécions cette belle journée dans les bois. Nous redescendons sur Namur par La Plante.

Pour le verre de l’amitié, nous squattons les terrasses de la citadelle d’où nous contemplons une dernière fois Namur.

Nettinne

Les Sauvages bravent une météo menaçante. Les pluies abondantes de ces derniers jours ont anormalement gonflé notre premier gué. Quelques kilomètres plus loin, voilà un second gué. Après le pique-nique, nous voilà repartis… pour la traversée d’un nouveau gué ! Nous voici nez à nez avec une Jeep et un garde champêtre qui s’assure que nous restons bien sur les chemins ! Une petite route nous emmène à Nettinne, mais un cours d’eau est sorti de son lit et voilà encore un gué à traverser. Au village, un charmant agriculteur sort son tracteur pour nous permettre de boire le mousseux de fin d’année à l’abri.