Nos randonnées et nos week-ends en 2012

Hessemilen

17 mai :     Esch-sur-Sûre. Début de la balade par une petite route, rapidement abandonnée pour un sentier en corniche qui offre quelques magnifiques vues sur la Sûre. Descente vers la N15 (Bastogne – Ettelbrück). À travers bois nous abordons l’autre versant de la vallée pour redescendre et remonter vers Kaundorf. Une belle marche en campagne sur le plateau suivi d’une descente à travers bois jusqu’à la Sûre pour remonter sur le plateau. Par un sentier en corniche (superbes vues), nous entamons la descente vers cette petite ville touristique. Après cette superbe balade, direction le gîte d’Hessemilen.
Au repas : zakouskis, vin mousseux, scampis à la diable, filets de pintadeaux…


18 mai :     Nous marchons dans la petite Suisse luxembourgeoise. Nous descendons vers le château de Beaufort. Nous marchons sur le sentier « Eifel-Ardennes » qui longe le Haalerbaach. Merveilleux sentier dans un dédale de hauts rochers tout en verdure. Voici Grundhof et la Sûre. Nous prenons le pont sur l’Ernz noire et montons dans la forêt de Kaasselt. Nous traversons Berdorf pour progresser dans une forêt dense et de hauts rochers érodés par l’eau. Tout au long du parcours, nous apprécions les vues sur la petite Suisse et l’Eiffel. À Beaufort, le GPS affiche 24 kms. Très belle balade dans un pays dont on ne se lasse jamais !

19 mai :    Nous démarrons la balade de Larochette, au pied des ruines du château (XIIème siècle). Nous longeons la rivière Manzebach à travers une superbe forêt pour atteindre le hameau de Meysemburg. Après les paysages romantiques, nous dégringolons dans les formations rocheuses du Mullerthal: chemins étroits et escarpés, grimpettes et descentes d'escaliers, défilés entre les parois… Nous redescendons au village de Medernach et regrimpons sur le plateau de Schwannerhaf. À Larochette, nous prenons un verre à la terrasse d'un café.
Merci à Yves pour le Maitrank et aux cordons bleus pour l’excellent repas.
Le soir, sous la houlette du DJ Paul, des Sauvages improvisent quelques danses.

20 mai :     Ettelbrück - Goebelsmühle en train, et retour à pied. À la gare de Goebelsmüle, Charles remercie les Sauvages pour leur aide lors de notre séjour. Du confluent de la Sûre et de la Wiltz, montée en direction du château féodal de Bourscheid par un magnifique sentier en corniche. Descente dans la vallée pour l’autre versant. Mais à Michelau, nous voilà dans un cul de sac. Nous passons sous les clôtures, traversons des prairies… pour enfin retrouver le chemin prévu. À Erpeldange les randonneurs veulent écourter, mais le bus pour Ettelbrück  ne circule pas le dimanche !
À Ettelbrück, nous squattons une terrasse pour notre dernier verre clôturant notre week-end.


Notre week-end de novembre à Manhay

9 novembre :      De Dochamps nous gagnons rapidement les bois. Voici la Drangotte et les petites Hés. Nous traversons de très beaux bois jusqu’au hameau d’Amonines. Vers l’Aisnes il y a une chasse, nous trouvons un autre sentier. Une très forte montée, qui est suivie d’une belle descente et nous arrivons à un chemin de fer : les wagons sont plutôt en mauvais état ! Nous remontons encore une fois. Il ne nous reste plus qu’à regagner Dochamps où l’on boit un bon verre. Pour le souper : une petite salade au foie gras, un veau marengo et des crêpes nous permettront de clôturer joyeusement cette première journée.


10 novembre :      Du gîte à Grandmenil, nous rejoignons les balises du GR jusqu’au ruisseau de Hoursinne. Le chemin s’enfonce dans les bois aux merveilleuses couleurs automnales. Quelques dizaines de mètres après le hameau de Petite-Hoursinne, la fourche reprise sur la carte… n’existe pas sur le terrain ! Nous montons vallée par un chemin qui se perd sous les feuilles. À Chêne-al-Pierre, nous voilà sur le parcours. Comme le fait remarquer Paul : « Il faut un dieu des marcheurs pour se retrouver après un tel périple sur le bon chemin ! ». Au gîte, Jo, met un CD de Frank Michael : « Toutes les femmes sont belles ».Ambiance assurée.


11 novembre :      De l’église d’Erezée, nous passons par le bois de Nalogne et redescendons vers l’Aisnes. Une bonne montée suivie d’une petite descente sur l’Aisnes, fil conducteur de notre séjour. Encore une montée à travers bois vers le refuge du Brocard. Nous descendons trop tôt vers les Haies du Greffier et d’Oppagne. Nous retrouvons notre chemin à Fisenne. À la chapelle Saint Remy, plus de chemin. Nous découvrons un sentier non entretenu, mais pour les Sauvages, cela convient parfaitement. Nous abrégeons car les kilomètres défilent… Plus qu’un beau bois à remonter et nous trouvons  une sympathique taverne où nous prenons un dernier verre après un très bon week-end.