Nos randonnées et nos week-ends en 2015

Notre randonnée dans le Var

organisé par Paul et Christiane

17 mai :     Après une bonne nuit, bien au calme, nous attaquons le Massif de La Sainte Baume. Nous montons par le chemin «Merveilleux». Nous laissons  «Paradis» sur le côté et nous affrontons le pas de l’Ai, qui est un petit enfer pour certains… De gros blocs de rochers à escalader, mais sans danger ! Les vues sont magnifiques. Nous arrivons au «Joug de l’Aigle» à 1147 m d’altitude. C’est un peu le joug, un passage de selle très étroit, pas à conseiller aux personnes soumises au vertige ! Nous descendons par le chemin des Roys. Nous regagnons l’hôtel où un bon dîner nous est servi.


18 mai :    Nous quittons l’hôtel pour monter jusqu’à l’antenne hertzienne à +/- 1050 mètres d’altitude. Nous empruntons une sente pentue à travers un petit bois. Sitôt sortis du bois, c’est ici que les affaires sérieuses débutent ! Un peu vertigineux, de gros blocs… Certains Sauvages ne sont pas trop à la fête ! Mais quelle récompense, une vue magnifique sur la Méditerranée d’une part et sur le Massif de la Baume de l’autre. Nous entamons la descente. Le début n’est pas trop facile, mais c’est de courte durée. À l’hôtel les plus courageux piquent une tête dans la piscine.


19 mai :    Nous quittons le Plan d’Aulps pour la Croix-Valmer. Nous en profitons pour visiter la région. À Saint Maximin visite de la basilique Sainte Marie Madeleine de style gothique. De là, nous allons au Thoronet où visitons ensuite l’abbaye cistercienne. Magnifique monument, situé dans un endroit superbe et tout à fait propice à la méditation ! Puis c’est Grimaud : la chapelle Notre Dame de la Queste et les ruines du château. À la Croix Valmer nous logeons à l’hôtel de la «Bienvenue» et soupons au «Patio».


20 mai :    De la plage de Gigaro, nous empruntons le sentier du Littoral. Un peu sportif, des petites montées, beaucoup d’escaliers. Les vues sur la Méditerranée et sur les îles du Levant, Port-Cros et Porquerolles sont de toute beauté. Nous passons par la plage de Brouis et arrivons au cap Lardier. Nous quittons le sentier du Littoral pour découvrir le Dolmen de la Briande. Nous bifurquons vers la Tourraque. Nous arrivons à un lotissement. Il ne nous reste plus qu’à redescendre par une petite route jusqu’à la plage de Gigaro. Magnifique balade agrémentée de superbes vues sur cette mer bleue !


21 mai :    C’est par une route très étroite et particulièrement sinueuse que nous arrivons au Monastère de la Verne. Ce superbe monastère a connu beaucoup de destruction aux cours des siècles. Reconstruit par étapes à partir de 1968, il est encore occupé par des moniales. Après la visite, nous empruntons un chemin qui fait le tour de la colline et nous découvrons de superbes vue sur le barrage de la Verne et au loin sur la Méditerranée. Nous rencontrons de joyeux drilles qui cassent la croûte. Quatre Sauvages montent par une belle sente jusqu’aux ruines de l’ermitage à 633 m. Retour à l’hôtel en passant par Collobrières.

22 mai :   Nous empruntons le sentier du Littoral à partir de la plage de Tahiti. C’est ainsi que nous arrivons au cap du Pinet, à la pointe de Capon, au cap des Tombeaux. Après la Madrague, nous arrivons à Saint Tropez par le cimetière aux tombes impressionnantes ! La ville est envahie par les touristes et, les Sauvages se séparent pour le retour. Christine et Charles empruntent le bus des plages qui reste sur la grand route : 50 minutes à pied sur de petites routes en croisant des voitures roulant à tombeau ouvert ! Au souper, nous savourons la soupe de poissons au «Patio».


23 mai :     C’est notre dernier jour dans ce beau pays plein de lumière. Paul propose l’île de Port-Cros, Denise et Bernard préfèrent visiter Saint Paul de Vence, Jo préfère flâner à La-Croix-Valmer, Mireille, Charles et Christine, choisissent une balade dans l’arrière-pays. Nos 3 compères, évitent de passer par les vignes du château de Chausse. Ils se retrouvent dans un ruisseau encaissé jonché de ronces. Ils retrouvent la piste qui mène aux ruines de Peinier et passe par «Négresse». Une bifurcation inconnue de la carte les conduit à Pimpinon. Un fameux détour ! Nous terminons au «Patio», où l’on remet bouteilles de vin aux pilotes Paul et Christiane.


24 mai :    Réveil à 4 heures 15 ! Le train attend 3 de nos compagnons au Luc pour prendre l’avion à Marseille. Quant aux autres, un dernier petit déjeuner avant de reprendre le chemin de nos pénates. Un grand merci à Paul pour nous avoir fait redécouvrir une très belle région.

Notre séjour en Fagnes

Vendredi 13 novembre :      Jour qui sera maudit ! Le temps est maussade lorsque nous quittons Botrange. Voici la Fagne du Neûr Lowé. Par une petite sente nous suivons le petit ru du Bayehon jusqu’à sa source. On traverse le Trô Maret. Il pleut et nous frissonnons ! Nous prenons le GR par un sentier rocailleux et nous découvrons un superbe panorama sur la Fagne et le ru de Polleur. Par des caillebotis nous arrivons à la Chapelle Fischbach et à l’auberge de la Baraque Michel. Après de délicieux potages, retour vers Botrange. Au gîte : apéro et souper.
Les couche-tard apprennent avec effroi le terrible attentat de Paris.

14 novembre :    Départ du Centre Nature. Nous traversons le bois de Sourbrodt. Le GR56 nous conduit au Grand Bongard. Un gué tente Greet et Christine. Mais Christine se retrouve dans la fange rougeâtre et collante ! Nous remontons la Helle, mais les balises ont disparu et le sentier… s’est évaporé ! Parcours sauvage dans la Fagne ! Revoici la Helle et le GR ! Christine, Greet et ses compagnes, Jacques et Irène bien qu’en perditions et… sans carte... arrivent par petit groupe au Centre Nature. Charles et sa troupe à 17 heures ! Mais ils ont fait toute la balade ! Au gîte buvons l’apéro offert par Marcelle.

15 novembre :    Du barrage de Robertville, les Sauvages se lancent sur le sentier des crêtes qui domine la vallée de la Warche. Le sentier est accidenté et n’est pas de tout repos, de véritables montagnes russes. Au camping du Moulin, Christine et Charles décident de remonter par le ru de Coreux pour abréger la randonnée. À Xhoffrais, Christine trouve une petite sente en pointillé sur la carte qui se meurt devant des barbelés que nous  escaladons sains et saufs ! Nous descendons le Roannay, puis le Bayehon, remontons sur Reinhardstein et voici le barrage ! Pas de pluie, que du bonheur ! Au gîte où Akram nous offre la Vodka.

16 novembre :    Il fait pluvieux et triste. De la Baraque Michel, nous empruntons les caillebotis toujours en aussi mauvais état. Nous longeons le ruisseau de Polleur, parcours magnifique, très sauvage et des vues sur la Fagne de toute beauté. À la fagne des Mousseux, nous nous enfonçons dans le bois. Le sentier est bien accidenté et très mouillé ! La pluie s’intensifie. Près du pont de Bêlé nous obliquons à droite ! Erreur ! … notre chemin s’évanouit dans la fagne… gorgée d’eau ! Nous rejoignons les caillebotis qui nous mènent au Mont Rigi et un sentier nous conduit jusqu’à la Baraque Michel.