19 janvier : Ils sont nombreux les Sauvages pour cette première et dernière balade du premier semestre… Nous traversons le Bocq et passons sous le Ravel, s’en suit une bien longue montée jusqu’au Bois d’Anway. Un peu de plat avant une descente vers le Bocq et une dure montée dans le Bois de Gayolle en surplomb des carrières d’Yvoir. Retour à la gare de Bauche pour notre pique-nique. Nous entamons une montée dans le Bois de Loges en direction du village de Durnal. Entre prairies, nous retrouvons le Bocq qui nous accompagne jusqu’au point de départ. Nous clôturons cette belle balade autour d’un verre au Pachis à Crupet.

Nous sommes nombreux pour ces retrouvailles avec nos sentiers. Petite grimpette vers la chapelle Saint Donat suivie d’un parcours dans la campagne. Nous voici dans le Bois de Profondeville pour une bonne partie de la journée. Belle descente avant une rude montée vers Au-Dessus des Béguines. Une descente sur Burnot et encore une rude montée vers le Bois de Grande Hulle en passant par Sur le Plain. Descente vers les hameaux de Profondeville suivie d’une troisième rude montée jusqu’au Point de Vue de la Sibérie. C’est presque par un parcours plat que nous retrouvons nos voitures après 635m de dénivelés cumulés. Sur la place de Profondeville nous prenons le verre de l’amitié.

De gros nuages, mais pas de pluie annoncée. Vieux de 400 ans, le Chêne au Gibet donne le nom à la promenade ; il supportait jadis les pendus. Au loin, se profile le château de Ramezée. Construit sur un tige au XVIII° s., il domine la Famenne. Nous pique-niquons sur des troncs dans la montée vers Somal, deuxième côte de la journée qui en comptera quelques-unes. Nous traversons la Somme et arrivons à Failon, puis nous faisons un crochet par le Bois du Tige. Retour au parking, avec la chaleur et les montées, nous avons notre compte. Une bonne bière nous attend à Hamois.

Nous empruntons le GR16 et gravissons notre première montée. Beau sentier entre prairies et bois et longue descente sur Membre où nous traversons la Semois. Dans la montée, la forêt a été secouée et nous devons faire preuve de souplesse pour passer des troncs d’arbre arrachés. Nous prenons le pique-nique au chêne à l’image. Une belle descente, nous amène au Moulin Simonis. Et voici notre troisième montée, suivie d’une descente pour le pont de claies et la traversée de la Semois. Encore une montée avant un parcours en montagnes russes sur la crête. Notre verre à Vresse était bien mérité après 17km et 780m de dénivelé !