19 février:   Nous voici au milieu de nulle part ! Nous démarrons entre bois et champs pour passer par Gelbressée et nous poursuivons en lisière de forêt. Nous pénétrons dans les bois, sentes glissantes, bonnes montées. Trois Sauvages affrontent la terrible descente de Marche-les-Dames, tandis que les autres abandonnent l’itinéraire prévu. Après leu Château de Bonnine, nous empruntons un sentier ou plutôt une décharge à ciel ouvert sur un petit ru, sauvage à souhait. Voici Gelbressée et une drève qui s’annonce formidable mais qui se meurt au fil de nos pas ! Nous empruntons la prairie contigüe. Par une allée, nous retrouvons nos voitures.

19 mars:  Des ruines de l’église d’Ombret la balade commence par une bonne averse et par des sentes boisées, mais combien pentues par 160m à gravir ! Nous poursuivons entre averses et éclaircies dans les bois de Bellegrange , traversons un petit ru et remontons vers Outrelouxhe. À Rawsa, la pluie cesse. Nous marchons à l’orée du Bois de la Bonnette et traversons le Bois de Lorifontaine. Nous redescendons vers le Fond d’Oxhe et remontons vers le Rocher de Poudingue d’Ombret. Nous terminons notre balade par une très forte descente.

Nous prenons le verre de l’amitié à la place d’Amay.

30 avril:   Le matin, tout semble facile ! Dans le Bois de la Sormonne, petite descente et passage à gué d’un petit ru ! Succession de petits rus dans les Bois de la Champagne et de Bourlers ! Toujours en forêt, descentes et montées se succèdent, traversée de l’Eau Noire. Et encore une montée ! Mais la dernière descente est sérieuse ! Nous longeons à plat l’Eau Noire pour une très forte montée. Nous pensons arriver sans embûches à Presgaux, c’est oublier que nous sommes en Fagnes ! Les sentes sont détrempées. À Presgaux, très bel accueil pour le verre de l’amitié. 19 km et 401 m de dénivelé !

19 mai: Rendez-vous à la gare de Poix St Hubert. Nous traversons la Lomme et la suivons en la surplombant à partir de Sainte Adeline. Nous montons à travers le bois du Nid des Vôteûs, au Sable, les Falizes etc…belles forêts ardennaises. Nous quittons la vallée du Parfond Ry pour une très sérieuse grimpette vers Mirwart. Une belle sente bien raide nous ramène à la Lomme. Après une bonne montée, suivie d’une descente, nous arrivons aux étangs Saint-Roch. C’est en suivant la Lomme, tantôt rive droite, tantôt rive gauche que nous retrouvons Poix-Saint-Hubert où nous prenons le verre de l’amitié avant de souper dans un restaurant à Mirwart.

23 juillet :   Les Sauvages commencent leur Rando par un calvaire ! Longue et ardue montée vers les Agaises. Nous longeons le Bois de Tiarmont. Nous descendons, mais 3 barrières nous obligent à remonter les 470 m. Parcours plus que sauvage, ronces, végétation drue, passage d’un premier gué et remontée abrupte. Dans le fond de Gorgin, encore un gué. Remontée en direction du moulin de Kevret. Et nouvelle descente vers le ruisseau du Fond des Vaux. Après le bois d’Heer voici notre dernière montée…qui fait mal aux Sauvages. Enfin la dernière descente, pleine de petites roches humides et glissantes. Nous savourons le verre de l’amitié après 18,4km et 540 mètres de dénivelé. 

20 août:   Long parcours à travers bois, par moment en frôlant la fagne de Sacrawe. Nous traversons le petit village d’Ottré et toujours à travers bois, nous passons le hameau de Petite Langlire. Nous passons près du ruisseau de Langlire et délaissons le GRP571 pour longer le bois des Roches. C’est ainsi que nous parvenons à Bihain où nous faisons un petit tour dans le vieux cimetière. Nous poursuivons à travers bois jusqu’au hameau des Petites Tailles. Nous passons par le kiosque surélevé qui domine la Fagne de Sacrawé et longeons cette dernière sur des caillebotis. Nous allons boire le verre de l’amitié à la Baraque de Fraiture. 19, 500 km et 316 m de dénivelé.

17 septembre:    Nous empruntons des ruelles pour arriver à La Meuse que nous suivons « Rive droite », la traverser et poursuivre « Rive gauche » jusqu’à La Plante. Où nous grimpons par le Tienne du Holà jusqu’à une petite. Nous marchons sur de petites rues et parvenons au Château de l’école hôtelière de Namur. Bref regard sur les plantes toxiques et c’est par des petites sentes bien raides et caillouteuses, nous parvenons au Casino. Nous relongeons un court moment la Meuse, la traversons et rejoignons nos voitures. Nous voici partis au restaurant « Oh la vache ! ». Bon repas, bonne ambiance et 8 km parcourus le matin.

15 octobre :    Nous passons sous le chemin de fer et quittons le village de Courrière pour marcher dans la partie nord du bois de Sorinne. Belle et solide descente vers Bethléem, pour longer un cours d’eau sauvage, le Samson. Dans le Bois de Gesves, des panneaux « Voie Privée » nous obligent à prendre une autre sente. Par une petite route et un sentier forestier nous arrivons à la Pichelotte. Descente vers le ru des Moulins et remontée vers Sorinne et la partie sud du bois du même nom. Retour aux voitures. Il est tard…pour le verre de l’amitié. 19,9km9, 342m de dénivelé.