Nos randonnées et nos week-ends en 1993

Vacances de neige en Autriche : Haus Im Ennstal

Je vais essayer de vous faire partager mes joies « Vacances de ski ».

Chacun, chacune décide de profiter au maximum du séjour.

Dès le début de l’après-midi, un soleil radieux dans un ciel absolument indigo nous enchante tous ! On reste muet devant tant de beauté hivernale. Le soir devant une jolie table, nous faisons mieux connaissance.

Les journées sont organisées, chaque groupe va vers les activités choisies: Ski alpin, ski de fond, promenades balisées ou « aventures » shopping à Schlaming et découvertes-dégustations de super pâtisseries.

Le buffet montagnard du dernier jour, fastueux, plantureux, délicieux : choucroute, cochonnaille, salades multiples. Amateurs de régimes amaigrissants, s'abstenir !

Grand merci à Jo pour son dévouement et sa gentillesse tout au long du séjour, c’était parfait.

Jacqueline (Mont-sur-Marchienne)


Flashs sur Beaufort au Grand-Duché

Jeudi : Salut les baroudeurs! Rejoints in extremis par quelques-uns attardés par une procession, nous démarrons, tout fringants sous un soleil éclatant, pour découvrir les collines schisteuses et boisées de la vallée de la Sûre. Les ruines du château féodal de Bourscheid se dressent sur un mamelon rocheux de 150 mètres au-dessus du cours d’eau. Nous montons encore, Ies mollets souffrent, mais la nature est belle. Objet de notre convoitise, voici l'auberge de Beaufort, dans la Petite Suisse luxembourgeoise. Le souper, familial mais copieux, rehaussé d'un petit « Auxerrois » nous requinque.

Vendredi : Destination Dillingen. Le groupe s'ébranle et passe devant la forteresse féodale des XIè et XVè siècles sise dans le vallon. Nous longeons la vallée de l’Our qui forme la frontière allemande. Après quelques difficultés, nous dénichons un endroit qui accueille les pique-niqueurs. Mais où donc avons-nous dégusté,  cette tarte succulente avant de reprendre l’escalade? Vu la ponctualité de l’heure du souper, il est question d'accélérer le retour au gîte C'est dans une ambiance chaleureuse que chacun de nous avalons un oiseau sans tête avec une feuille de salade et, tous pour un, un pour tous, à la plonge !

Samedi :    Müllerthal. Après un casse-croûte impromptu dans la nature, suite à une petite erreur de trajectoire, une douce indolence nous envahit. Qu'importe, nous voilà à Grundhof. Les Sauvages empruntent la route sinueuse qui descend vers l'Ernz noire dont les rives sont encaissées dans un fouillis de bois d'où émergent des rochers de grès. Mathieu gagne 3 kilomètres grâce à un raccourci trouvé au pif ! Le soir, à l'auberge, avec un menu oh combien sublime: des spaghettis à la bolognaise.

Dimanche : À Echternach, certains se livrent au tourisme, d’autres au shopping. À 13 heures, nous nous séparons, goinfrés d’énergie mais un peu nostalgiques, en préméditant notre prochaine belle aventure.